A l’occasion d’Octobre Rose, nous avons choisi de vous livrer nos conseils d’alimentation et de soins naturels pour aider à lutter contre les conséquences néfastes du cancer et de la chimiothérapie sur la peau et l’organisme. TrainMe est sensible à ce sujet et souhaite soutenir la cause !
Quelques chiffres :
Les cancers représentent en France la première cause de décès chez l’homme et la deuxième chez la femme. En 2018, le nombre total de nouveaux cas de cancer s’estime à 382 000 dont 54 % chez l’homme. L’estimation du nombre total de décès par cancer s’élève en 2018, à 157 000 dont 57 % chez l’homme.
Chez la femme, le cancer du sein reste le plus fréquent. Tandis que le cancer du sein touche 1 femme sur 8 en 2020, les répercussions sur le corps, la peau et le mental de la maladie et des traitements comme la chimiothérapie sont toujours aussi conséquentes, nombreuses et douloureuses. Perte de cheveux, affaiblissement de l’organisme, la peau du corps qui devient ultra sèche voire douloureuse si l’on souffre du syndrome mains-pieds sont malheureusement le quotidien des femmes touchées par la maladie.
Un étude montre que les personnes qui consomment le plus d’aliments de moins bonne qualité nutritionnelle s’exposent à un risque de mortalité prématurée 7% plus élevé par rapport à celles qui en consomment le moins.
Dans cet article, TrainMe vous partage ses conseils pour mieux s’alimenter et prendre soin de soi de façon plus naturelle dans cette période compliquée.

1. L’alimentation à éviter avant de commencer les traitements d’un cancer
Premièrement, nous recommandons d’arrêter de consommer du sucre sous toutes ses formes raffinées. Tels que les sucreries, alcool, bonbons, pâtisseries car le sucre est un acidifiant et nourrit les tumeurs cancéreuses.
Deuxièmement, les fruits sont autorisés à condition d’être mûrs, de saison et de préférence bio.
Troisièmement, il faut limiter sa consommation de produits laitiers ainsi que les produits cuits à très haute température.
Enfin, évitez l’excès de viande rouge et de fer qui favorise le développement des tumeurs.
2. L’alimentation à privilégier avant de commencer les traitements d’un cancer
Privilégiez des repas sains et légers en augmentant la part des légumes. Avant le début de tout traitement et plus particulièrement avant chaque chimio, faites une cure de Chardon Marie (Silybum marianum), une plante médicinale qui réduit les effets secondaires de la chimiothérapie et surtout protège le foie des substances toxiques. Trouvez le bon dosage en accord avec un phytotéhapeute et un pharmacien.
- Les acides gras oméga-3 du poisson sont bons pour le cœur. Les produits de la mer sont de bons aliments anticancer. Il est tout de même conseillé de faire attention sur la provenance et l’élevage de certaines espèces. Le thon et le saumon sont en effet souvent pollués. Nous vous conseillons donc d’opter pour des poissons issus d’élevages sauvages et bios au maximum.
- L’ail quant à lui à des la qualité de diminuer les mutations génétiques. N’hésitez donc pas à l’implémenter plus souvent dans vos plats.
- Le thé vert permet de baisser le risque d’apparition de certains cancers (côlon, prostate, vessie, sein…) grâce à ses multiples antioxydants.
- Les fruits rouges tels que les fraises et les framboises peuvent entrer dans le processus de vascularisation des tumeurs cancéreuses. En effet, elles contiennent des acides éllagiques. De plus, les baies et les myrtilles bloquent la croissance des cellules tumorales.
- Les légumes sont bien évidemment essentiels afin d’éviter les cancers. Chou, fenouil, champignons, soja et carottes seront d’ailleurs vos meilleurs alliers.

3. Faire du sport pour garder le moral
L’activité physique est utile avant un cancer, pendant un cancer, et après un cancer. Le risque de développer un cancer du côlon diminue de 17 % en cas d’activité physique régulière par rapport à un état sédentaire. Il réduit celui du cancer du sein de 20 %. Pour le cancer du côlon, l’accélération du transit intestinal provoquée par l’effort physique réduit le temps d’exposition de la muqueuse digestive aux cancérogènes d’origine alimentaire. Pour le cancer du sein, le sport diminue le taux d’estrogènes en circulation et améliore l’immunité. Ou encore, pour le cancer du poumon, l’augmentation de la fonction respiratoire réduirait la concentration d’agents cancérogènes dans cet organe, ainsi que le stress oxydatif causé par la cigarette.
Le moral occupe une place capitale dans le long combat contre le cancer ! Pratiquer une activité physique régulière en privilégiant les sports doux (marche, danse, yoga, pilates, etc.) permet de garder confiance en soi et de rester positif. Tenir cet engagement et se fixer des objectifs à sa portée peuvent faire renaître la confiance et l’estime de soi. Le plaisir de découvrir un nouveau sport, d’apprendre de nouvelles techniques est également source de satisfaction. Vous pouvez compléter vos entraînements avec des compléments alimentaires qui vous reboosteront.
La pratique sportive permet d’augmenter la concentration, donne une sensation d’énergie mentale, booste l’humeur voire possède un vrai effet anti-dépresseur « .
4. Lutter contre la fatigue due aux chimiothérapies
Il est important d’avoir une excellente hygiène de vie. Pendant un traitement cancer, une alimentation saine, légère et équilibrée associée à une activité physique régulière sont indispensables pour tenir le coup, physiquement comme moralement. Prenez des vitamines, celles pour femmes enceintes comme Ergynatal, Elevit B 9 sont top car elles sont bien dosées, sans danger et, il y a tout dans un seul comprimé (disponibles en pharmacie). Prenez aussi en association avec les vitamines une ampoule type » Super diet’ » à base de (romarin, artichaut, radis, noir, chardon-marie..). A prendre en cure de 21 jours pour drainer le foie et aider à éliminer le surplus de substances toxiques ingérées par la chimio.
L’activité physique permet de lutter contre la fatigue et de faciliter un retour à la vie sociale. A plus long terme, elle peut diminuer le risque de récidive pour certains cancers, comme le cancer du sein, du côlon et de la prostate. La fatigue ne donne pas envie de pratiquer une activité physique. Mais, contrairement à certaines idées reçues, l’activité ne fatiguera toutefois pas plus. C’est même une solution efficace pour lutter contre la fatigue, si elle est adaptée aux besoins du patient et à son état de santé.